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mercredi 30 mars 2011

L'acquisition : une réunification après 200 ans de division.

Le coup de foudre

Cette histoire est née un jour de grisaille, en février 2006.
"Je ne vous accompagne pas pour visiter, je vous attend dehors" disait la représentante de l'agence, transie...

Le coup de foudre (ou de folie) a été immédiat. Nous avons fait l'acquisition de la première partie de la maison, que la propriétaire (85 ans) venait juste de quitter suite au décès de son mari. Le reste, attenant et dépourvu de toiture depuis plusieurs décennies, appartenait à une indivision.

Une vente à la bougie

Trois bonnes années ont été nécessaires pour obtenir, près le Tribunal de Grande Instance de Tours, que l'autre partie de la maison soit vendue à la bougie dans la salle des criées. Quoi de plus romantique !

L'ensemble a ainsi été réunifié en juin 2009 après peut-être 200 ans de séparation, comme en témoigne un sabot d'enfant (datant probablement du début du XIXe siècle) retrouvé, comme un énigmatique indice, dans un passage muré.

Vue de La Basse Passière en 1995:
http://www.google.fr/imgres?imgurl=http%3A%2F%2Ftoponymes-archives.vendee.fr%2Fthumb%2Fgenerate%2F800x600%2F127_passiere.jpg&imgrefurl=http%3A%2F%2Ftoponymes-archives.vendee.fr%2Ftoponyme-passiere-la-12667&h=539&w=800&tbnid=-IGWzIQ0wGQrHM%3A&zoom=1&docid=4uiBHb3AvQZiMM&ei=sZy6VJ38LOLZ7gb26YCoCA&tbm=isch&iact=rc&uact=3&dur=1038&page=5&start=89&ndsp=18&ved=0CMsCEK0DMGA

2 commentaires:

  1. Bonjour cher professeur nous souhaitions vous faire part de notre plus grande admiration face à ce travail extraordinaire que vous avez accompli ! A la suite de ces compliments nous espérons que vous saurez nous récompenser comme il se doit, la réussite de nos partiels étant pour le moins hypothétique.
    Avec nos plus respectueuses salutations.
    Les historiens qui s'inclinent jusqu'à terre devant votre magnificence infinie!

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    1. Eh bien, mes chers étudiants, ce travail n'est sûrement rien à côté du vôtre (enfin j'ose imaginer !). Vous êtes tous cordialement invités à la visite des lieux, et pourquoi pas du château de Saint-Mesmin ? Décidément, encore une leçon d'histoire...

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